CIRCE SUNNY MULLIGAN

Inutile de chercher, vous ne trouverez pas. Je sais ce que vous êtes venu dénicher, c'est pas ici que vous le trouverez, et j'en suis désolé. Vous cherchez ue magnifique femme, riche et pleine aux as, vêtue de dior et parfumée au chanel. Moi, je ne suis qu'une fille banale. Mon prénom est Circé. A mon avis, mes parents devaient être dans une période de grand délire mythologique pour me donner le nom de la déesse de la métamorphose et de l'ensorcelement. Mais j'ai un second prénom aussi : Sunny. Ce qui me correspond assez, vue que la base est "sun", et que je viens de Californie. En effet, j'y suis née le 7 juin 1990, donc forcément je vais fêter mes 21 ans. Je suis la descendante de la famille Mulligan. C'est peut-être sans aucune importance, mais on me dit souvent que je suis le portrait craché d'une jeune actrice, Candice Accola, ce que je trouve vraiment étrange, vue que je ne lui ressemble pas du tout ... Je suis ravie d'être enfin en vacances, de retrouver cet univers que j'ai quitté l'an dernier pour enfin m'échapper de mes études de journalisme, que j'aime énormément, mais qui sont assez prenantes malgré tout. Il n'y a pas que mes études qui sont lourdes, il y a également mes deux boulots à côté. Oui, j'ai tendance à vivre à cent à l'heure, et pour une bonne raison : aider ma famille. Nous avons toujours eu très peu d'argent, et depuis des années, nous essayons de trouver les moyens possible d'en avoir plus. Les problèmes financiers, dans la famille, ça nous connait, vous savez. C'est pourquoi je travaille en tant que serveuse dans un restaurant, ainsi que dans une boite de nuit. J'enchaine les petits boulots comme on dit. Seulement, pendant ces vacances, je ne travaillerais pas, pour la simple et bonne raison qu'un ecervelé du nom d'André a décidé de me trainer jusqu'à Cancun, avec ma meilleure amie. J'ai beau m'en vouloir de lâcher ma famille pour m'offrir des vacances avec les personnes que j'aime - sans compter avec la personne que j'aime - je sais que je vais passer des vacances inoubliables, faisant partie du groupe bitch with glasses. Et d'ici quelques semaines, malheureusement, je devrais retourner à mon quotidien, à New York (je suis new yorkaise depuis 6 ans maintenant) ainsi qu'à mon célibat. Enfin ça, c'est une autre histoire. Et croyez moi, mon pseudo célibat, c'est vraiment plus compliqué que vous pouvez le croire ...

FROM YOUR LIPS SHE DREW THE HALLELUJAH

« on n'y arrivera jamais ... » la jolie blonde s'opposa à cette idée et dit à son tour : « Mais non ! Faut pas dire ça ! Tu vas voir, on va s'en sortir, ça va être facile». Circé, l'optimiste, avant parlé. Enfin, optimiste ... Dans cette situation, ça frôlait plutôt l'inconscience. Assise à la table du salon, elle était en train d'aider son père à régler les factures. Elle trouvait ça totalement fou, que ces dernières se multipliaient à cette allure ... Vous l'aurez rapidement compris, la famille Mulligan avait de gros problèmes financiers. Et pas qu'un peu. Certes, ça avait toujours été ainsi, plus ou moins, mais il fallait dire qu'en ce moment, ils étaient au bout du rouleau. Entre l'augmentation des impôts, les études de Circé, et le fait que le père de la maison venait de perdre son travail, la situation financière de la famille était des plus critiques. Pour cela, la "petite" de la maison, Circé, avait du enchainer les petits boulots, ce qui inquietait ses parents, c'est pourquoi elle travaillait discretement. Pourtant, aujourd'hui, elle n'avait pas d'autre choix que de partir en présence de son père : il était 22 heure, elle devait être au travail à 22h15. Se levant, elle affirma : « Je dois partir, je rentrerai vers 2H30. Ne me laisse pas d'assiette au frigot, je mangerai sur le chemin. » Allant dans sa chambre, elle se mit en tenue de travail. Le problème avec cette tenue de travail, c'était la forme : une petite robe à pailette avec une longueur de tissu pas assez longue, d'après elle. Le soir, elle était serveuse dans une boite de nuit assez déjantée, la journée elle suivait des cours à la fac de journalisme, en Californie, et l'après-midi ou les week ends, elle était serveuse dans un café. Rassurez vous, il lui arrivé de dormir, quelques fois. Marchant le long de la ruelle, il ne suffisait que de 10 minutes de marche pour arriver jusqu'à la boite de nuit. Contrairement au café, son second boulot, qui était plus proche de sa fac que de son appartement. Une fois arrivée, comme d'habitude, elle se donna à fond. C'était pas toujours plaisant d'être vu comme un objet, ue blonde derrière un comptoir qui servait de l'alcool à de jeunes hommes particulièrement collants - et la plupart du temps ivres - jusqu'à pas d'heure, mais une chose était sûre : c'était le métier le plus payé de tous les métiers qu'elle pouvait se permettre, en jeune étudiante de 21 ans. Les heures passèrent assez vite dans l'ensemble, elle n'avait pas vraiment le temps de s'ennuyer. Une fois les deux heures arrivées, elle enfila sa veste, et commença à sortir de la boite de nuit. Il faut le dire, il faisait un froid de canard. Et la jolie blonde avait sommeil. Elle devait se lever dans 4 heures, puisque le lendemain, elle avait cours. Marchant le long de la ruelle sombre, elle referma son long manteau noir sur elle, tellement elle avait froid, ne portant que sa satanée robe en dessous. Au bout d'un moment, elle se rendit compte qu'un client de la boite la suivait depuis qu'elle l'avait quitté cette dernière. Ne paniquant pas, Circé se repetait qu'il ne la suivait pas, qu'il prenait seulement les mêmes ruelles qu'elle. Seulement, au bout d'un moment, la situation devenait vraiment louche. Elle décida de prendre de nombreuses ruelles insolites, une à droite, puis de nouveau à gauche, puis à droite, ... Pour voir si il la suivait réellement ou non. Ce qui était le cas. Ne prenant pas peur, elle décida d'accélerer le pas. Seulement, elle s'autorisa la panique lorsque son suiveur l'interpela au loin : « Hé toi là-bas ! » nul doute qu'il s'adressait à elle, ils étaient seuls dans cette rue. Elle marcha le plus rapidemment possible, voulant quitter cette rue sombre. Il cria à nouveau : « Voyons, Blondie, ne fuit pas comme ça ! » Il se mit alors à marcher de manière rapide, à un point qu'il en courrait presque. La jeune blonde se mit alors à courir. Elle n'était pas loin du " quartier des riches", ce qui la rassura. Elle décida de longer ce quartier. Circé savait parfaitement que ce n'était pas vraiment une bonne idée, dans la mesure où c'était le genre de quartier de bourges où personne ne sortirait pour aider une pauvre qui hurlerait, bien au contraire, ils fairaient tout simplement semblant de n'avoir rien entendu. Ou pire, certains penseraient " tant mieux, une pauvre en moins ". Seulement, c'était un des quartiers les mieux éclairés. Ce qui la rassurait. Mais en plus, c'était ici qu'habitait André. Ce garçon qui lui rendait la vie impossible. Elle se rapellait encore de leur première rencontre, et des jours qui avaient suivi. C'est vrai, en quelques sortes, ils s'étaient véritablement detestés. Pourtant, elle le trouvait différent des autres, il lui arrivait même de le trouver attachant, rarement. Ce qui était parfaitement ridicule, puisqu'il n'y avait pas plus mauvais caractère, ou violent que lui. Mais c'était pas vraiment le moment de se remémorer des souvenirs. Continuant à courir, la jeune blonde entendait l'homme derrière elle l'appeller par tous les surnoms possibles. Elle n'était pas loin de la maison d'André, mais sous le coup du stress, elle avait prit une mauvaise ruelle, et finit par atérir dans une impasse. Prise au piège comme une proie, elle regarda autour d'elle et voulu faire demi-tour mais il était trop tard. Tandis qu'il l'attrapait par derrière, elle se débattait, puis elle fut envoyée contre le mur. Elle glissa sur le sol, elle en profita pour attraper son portable en le gardant dans sa poche et appuya sur la touche 1. Le numéro directement appellé, celui d'André. Elle finit par crier son prénom, pour qu'il l'entende, que ce soit de chez lui, qui n'était pas loin dans le quartier, ou qu'il l'entende de son portable, elle ne savait même pas si il avait décroché. Se débattant comme elle le pouvait, Circé se disait à ce moment là qu'elle n'avait plus aucune chance. C'est lorsque la situation était devenue vraiment critique qu'il était arrivée. André était venu. Elle ne savait pas si il l'avait entendu à cause de ses cris ou de son appel, mais elle était vraiment contente qu'il soit là (quoi de plus normal). Seulement, elle se rendait compte qu'à ce moment là que c'était le même sentiment que lorsqu'elle le voyait tous les jours. Ce soir là était un soir très important, car c'est à partir de ce moment là que tout a commencé à changer.

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Derrière mon écran ?! Regardez le, le petit curieux ! Tu peux m'apeller Blondie - non je ne suis pas blonde *SBAFF* - c'est seulement pour faire référence à mon personnage, ma petite Circé d'amour (a). Sinon, apelle moi Cindy j'ai 18 ans - héé oui je suis majeure, soyez pas dégouté (a) - je suis en terminale Littéraire, enfin j'étais en septembre je vais à la fac. <3 Je suis une artiste dans l'âme, j'aime tous les arts : la littérature, la musique, la peinture, le dessin, l'écriture, ... Tout, je vous dis ! J'ai fais de la danse, du dessin, du piano, du chant, de la guitare, ... Je lis et j'écris tout le temps. C'est d'ailleurs ma passion de l'écriture qui m'a mené sur des RPG. J'avais 11 ans lors de mon premier RP *souvenirs souvenirs* Ce qui fait - si vous savez compter - 7 ans, en vie RPG-ienne. Bref, je suis vraiment contente d'être parmi vous. et je tiens à prévenir que celle qui touche à André, je l'éclate mais je vous aime quand même

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