STARS OVER MY HEAD
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
on vote pour miss&mister camping ICI & ICI !
Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Partagez | 
 

 perla rechercheuntitrecommed'hab.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Perla Requiem Di Duca

Perla Requiem Di Duca
IT'S ME ! ✌ THE SUMMER NEVER ENDS
✌ date d'arrivée : 22/04/2011
✌ tentes plantées : 47
✌ âge du perso : 22 y.o.
✌ côté coeur : innocenzo, le seul, l'unique. et pourtant.
✌ jukebox : .

✌ célébrité : mirandahotkerr
✌ crédits : hell's angel
✌ pseudo : HLN.

perla rechercheuntitrecommed'hab. Empty
MessageSujet: perla rechercheuntitrecommed'hab.   perla rechercheuntitrecommed'hab. EmptyMer 1 Juin - 20:23

Perla Requiem Di Duca

« Inno, fais pas le con ! Laisse-moi sortir ! » Mon visage entre deux barreaux avait un rictus terrifiant. Et je le voyais à faire le malin parce qu’habituellement, il était à ma place et j’étais celle qui venait le chercher. « Non, je peux vous le certifier monsieur l’agent, je ne connais pas cette hystérique. » Et voilà qu’il tournait les talons, prêt à me laisser croupir dans cette cellule une nuit entière. « Pourtant, elle a dit que vous étiez son petit ami. » Il se stoppait net dans sa course, et se retourna pour longuement m’observer. [color:f3a2=#0099aa ]« Euhm, c’est vrai que sous ses airs de folle, elle y ressemble légèrement, laissez-moi l’interroger, je n’aimerais pas laisser sortir une criminelle. » Un soupir las s’extirpa de mes lèvres alors que mes yeux se levèrent vers le ciel. Il déconnait franchement, et il prenait un malin plaisir à le faire. Je le lisais dans ses yeux. [color:f3a2=#0099aa ] « Nom et prénoms s’il vous plaît mademoiselle. » « Perla Requiem Di Duca, tu le sais très bien, et tu me connais très bien alors cesse de me vouvoyer, et fais-moi sortir d’ici putain ! » S’il n’y avait pas ces barreaux qui nous séparaient, je lui aurais sans doute foutu une gifle, et il le savait pertinemment, d’ailleurs, il gardait une distance de sécurité entre nos deux corps. Seulement au cas où. [color:f3a2=#0099aa ] « Si vous ne capitulez pas mademoiselle, vous risquez de passer un bien long moment ici. » Menace, il osait me menacer. Et pourtant, je finis par m’asseoir en tailleur contre le sol froid et sale. Au point où j’en étais. [color:f3a2=#0099aa ] « Lieu et date de naissance. » Il s’y croyait vraiment avec son interrogatoire à la con, si je n’avais pas eu tant envie de sortir d’ici, je n’aurais sans doute répondu à aucune de ses questions. « Je suis née le vingt-trois mai 1989, donc j’ai vingt-deux ans, en Italie, dans une famille très pieuse si vous voulez tout savoir. » [color:f3a2=#0099aa ] « Il ne serait pas très heureux de vous savoir ici, en prison, mademoiselle Perla. Mais continuons. Avez-vous un quelconque signe distinctif, que ce soit piercings ou tatouage ? » Je pris le temps de réfléchir quelques secondes, mais je savais déjà où il voulait en venir. « A part, mes boucles d’oreilles et une cicatrice dans le dos, non. J’ai toujours respecté mes parents, et ils n’auraient jamais accepté que j’abîme mon corps d’une quelconque façon. » Il me demanda alors d’où venait cette cicatrice, et je coulai un regard vers le policier qui se trouvait non loin d’ici. [color:f3a2=#0099aa ] « Laissez tomber cette question. Quel métier exercez-vous ? » Il valait mieux laisser tomber en effet, car il suffisait que je dise qu’il était l’auteur de cette cicatrice à cause d’une violente dispute, et il se serait retrouvé à mes côtés dans une cellule. « En partant de chez moi à la va-vite, je n’ai pas pu finir mes études, donc j’enchaîne les petits boulots depuis ce jour pour subvenir à mes besoins et à ceux de mon petit ami. » [color:f3a2=#0099aa ] « Je vois, je vois. A croire que vous êtes miss parfaite à toujours vouloir écouter vos parents. » Un regard assassin de ma part accompagna ses paroles. Il se lançait sur un terrain miné et il le savait pertinemment. [color:f3a2=#0099aa ] « Bon, faites-moi un sourire. » J’attendis quelques secondes tout en le regardant pour voir s’il était sérieux, et lorsque je constatai que oui, je m’exécutai rapidement. L’interrogatoire semblait toucher enfin à sa fin. [color:f3a2=#0099aa ] « Un sourire de mannequin à la Miranda Kerr… Non, désolé monsieur l’agent mais je ne la connais pas. » Déjà, je me levai avec une vitesse ahurissante en criant : « INNO ! » [color:f3a2=#0099aa ] « Bon bon, d’accord. Vous pouvez la laisser sortir, c’est bien ma petite amie. » Enfin, la porte s’ouvrit devant moi, et je retrouvai ma liberté, courant alors pour aller pousser Innocenzo qui s’était bien foutu de ma gueule. « Ah au fait monsieur, il faudrait payer la caution de la demoiselle. » Je vis ses yeux s’arrondirent, et cette vision m’enchanta au plus haut point. « Pour conduite en état d’ivresse. » Et mon rire cristallin cacha alors les grognements furieux de l’italien, qui se trouvait être, par la même occasion, l’homme de ma vie. (groupe :bitchwithglasses)



FROM YOUR LIPS SHE DREW THE HALLELUJAH

Chère maman, je crois que c’est ainsi que je devrais commencer, même si je ne t’enverrai pas ce mail, comme les dizaines d’autres que je t’ai écrit avant. A quoi bon ? Tu ne les liras pas car ils parlent tous d’Innocenzo, et je sais à quel point vous pouvez le détester, papa et toi. Je sais même que je le déteste aussi, et pourtant, je reste là à l’embrasser chaque jour, parce que je sais que, même si ma vie est un cauchemar avec lui, elle le serait encore plus sans.

Nous sommes sortis dans Cancun aujourd’hui. Et sentir sa peau contre la mienne était tout bonnement rassurant. Il me tenait la main, comme aux premiers jours, et me pressait les doigts quand il voulait que je regarde les alentours plutôt que de le contempler lui, encore et toujours, comme si je le voyais pour la première fois. Il était beau. Mais pas de cette beauté parfaite qui vous laisse bouche-bée, tu sais ? Non, plutôt d’une beauté effrayante. A mes yeux. Parce que je connais l’envers du décor. Je connais sa rage quand les gens voient son amabilité, je connais sa violence quand les gens voient son sourire. Et malgré mes doigts entrelacés aux siens, je m’inquiétais déjà de tout ce qui se déroulerait lorsque le soleil se coucherait et que la nuit cacherait au monde entier toutes nos erreurs. Mais ne faut-il pas profiter de l’instant présent même s’il consistait à faire semblant, chaque heure de chaque jour ? Nous le faisions, et parfaitement en plus. Comme si le rôle du couple parfait nous allait à merveille, comme si ces gens-là nous ressemblaient au quotidien, alors qu’en fait, nous n’étions que des usurpateurs d’identité, avides de calme et d’amour quelques heures dans la journée, pour pouvoir survivre à ces nuits sans sommeil où notre couple se déchirait et creusait toujours un peu plus sa tombe.

Tu ne sais pas grand-chose de ce qu’il s’est réellement passé entre nous, et au fond, qui le sait vraiment à part nous ? Au camping, on fait semblant, encore et toujours. Et devant tout le monde. Les gens ne cessent de nous répéter que nous formons le couple idéal, que nous sommes un exemple pour eux. Si tu nous voyais, je suis certaine que toi aussi tu tomberais dans le panneau. Nous savons si bien faire semblant. Innocenzo semble si différent quand il apparaît aux autres, il est tout ce dont toutes les filles rêveraient. Je fais partie de ces filles évidemment. Durant ces moments en grand public, il redevient celui dont je suis tombée éperdument amoureuse. Et même si cela n’est qu’un mensonge, je suis comblée quand je vois apparaître sur ses lèvres son magnifique sourire et quand il pose ses lèvres contre les miennes. Tu vois où j’en suis arrivée ? A me satisfaire de mensonges, de choses fausses qui devraient me dégoûter de lui, et qui, pourtant, me rendent un peu plus accro. Il semble faire cela si facilement, comme si c’était naturel chez lui de se foutre de la gueule des gens, de leur mentir effrontément sous le nez. Pourtant, sans jamais en parler, nous avions fait cet accord : paraître en public comme le couple parfait que nous formions avant. Ce qui me terrifie le plus, maman, c’est de constater à quel point tout le monde croit en nous, met toutes ses espérances dans ce duo que nous formons. D’ailleurs, on a retrouvé un couple d’amis à la terrasse d’un café, et nous avons donc été obligés de nous installer avec eux. Et on a donc dû nous servir de notre talent d’acteur pour faire semblant, comme d’habitude. Je détestais mentir comme cela aux gens, c’était quelque chose qui ne me ressemblait pas du tout, et pourtant je m’évertuais à rire quand je le devais, à l’embrasser quand il le fallait. Et toutes ces petites choses qui te paraissent sans doute insignifiantes, mais qui me font tellement mal quand je les exécute, car elles puent le mensonge et la fausseté. A un moment, la femme du couple s’est exclamée sans crier gare « Il faut l’avouer, vous êtes un exemple pour nous, n’est-ce pas chéri ? » et c’est là que j’ai vraiment réalisé que jamais nous ne pourrons nous sortir de cette si grande supercherie. Et au fond, je crois qu’on se complait dans celle-ci, parce qu’on a réellement l’impression d’être vivant, d’exister. Et c’est très rare tant nous nous faisons souffrir mutuellement. J’ai cette sensation qu’avec cet homme-là, je pourrais construire ma vie, je pourrais me fonder un monde qui ne tournerait qu’autour de sa petite personne. Je pourrais peut-être même fonder une famille. Mais quand la nuit tombe, alors mes rêves tombent en lambeaux, tous mes espoirs sont réduits à néant. Simplement parce qu’il redevient l’homme qui souffre et qui détruit, et que je me transforme en la femme qui souffre et qui se venge.

Nous sommes lamentables, maman, amoureux certes, mais tellement lamentables. On ne peut s’en empêcher, c’est plus fort que nous. Nous n’arrivons jamais à résister à l’appel de la vengeance. Cette vengeance qui se traduit par un désir d’une odeur différente des nôtres, de baisers différents des nôtres. Et personne ne le perçoit alors que j’ai envie de crier au monde entier que non, nous ne sommes pas heureux ensemble et que nous n’avons qu’un but dans la vie, celui de faire souffrir l’autre. On a beau rire en présence de foule, mais au fond, nous ne savons plus vraiment ce qu’est le réel humour, la réelle joie de vivre. Inno a demandé à nos interlocuteurs pourquoi nous étions un tel exemple, et leur réponse a ressemblé à toutes celles que nous avions déjà entendues. « Vous êtes si unis, si complémentaires. Un amour si parfait, c’est beau à voir. » Et là, j’ai eu envie de vomir mes tripes sur le sol éclatant. Pourtant, j’ai souri, et l’homme que j’aimais de tout mon être a laissé sortir de sa bouche un rire qui m’a brisée les tympans. Il sonnait faux, tellement faux à mes yeux. Malgré ça, tout le monde y croyait. Et le pire c’est que nos regards se sont croisés et qu’on pouvait déceler dans chacun d’eux l’amour si intense que l’on se portait. Tellement intense qu’il en était devenu destructeur. J’avais envie de leur parler de notre départ forcé pour Cancun la première fois, de leur cracher l’histoire des bibles sataniques qui avait annoncée la chute de notre si bonne entente, de leur déballer tout sur Tobias et le rôle qu’il avait joué dans tout ce bordel. En fait, j’ai eu envie de tout balancer sans aucune retenue, mais la main d’Innocenzo qui entourait la mienne était un constant rappel à l’ordre, et m’empêchait de faire une énorme connerie, qui signerait la fin de ces moments où tout était plus simple, où tout ressemblait à l’Italie.

L’Italie. Je me souviens de tout, de ces moments avec vous évidemment, mais plus particulièrement ceux avec lui. De notre rencontre, de nos sourires, de nos discussions, de nos baisers. De notre amour. A cette époque, j’étais la fille parfaite que vous désiriez, la petite amie parfaite qui se construisait autour de lui. J’étais souriante, sympathique, drôle, et surtout heureuse et amoureuse. Aujourd’hui, je ne suis plus qu’une loque, le fantôme de moi-même. J’ai le regard terne, un sourire qui se pose rarement sur mes lèvres, je suis devenue ironique et sarcastique, mais ce doit être une forme d’humour. Et je ne suis plus heureuse. La seule chose qui demeure identique, c’est que je l’aime. Ah et aussi que je prie quelques fois, comme vous me l’avez appris durant mon enfance. Ces moments en famille me manquent, même si Innocenzo répète qu’ils étaient faux, que tout n’était qu’hypocrisie et faux-semblants. Je ne le crois pas, je préfère me dire que nous étions vraiment heureux à l’époque où nous formions encore une véritable famille. Je me dis que vous vouliez mon bonheur, tout simplement, même si pour cela, il fallait être rigide et sévère. Mais peut-être que je me trompe, toi seule pourrait me le dire. Si tu étais face à moi, tu me demanderais sans doute pourquoi je prie, pourquoi je continue à demander quelque chose à Dieu alors que je suis certaine que l’Enfer m’attend. Je pris pour lui, maman, je prie pour qu’un jour, il puisse ressentir le bonheur, le vrai, pour qu’il puisse de nouveau être en paix avec lui-même, ici ou ailleurs, un jour ou l’autre. Je prie pour que Dieu lui accorde le Paradis même s’il ne croit pas en lui. Parce qu’il le mérite, ça et bien d’autres choses encore plus belles. Je suis la cause de sa monstruosité, je suis la cause de son malheur, de sa souffrance. Si tu savais ce que j’ai fait. Et tous les jours, je regrette, tous les jours, je pleure, mais je ne peux revenir en arrière. J’ai pêché maman. Ne pense pas au fait que je sois partie avec lui sans un mot, c’est bien pire. Ne pense pas au fait que j’ai couché avec Inno avant le mariage, c’est bien pire, car tout ce qui me guidait était l’Amour, le pur, le sincère. Le vrai. J’ai été infidèle. J’ai couché avec un autre que lui. Et cette fois, tout ce que je voulais, c’était me venger de sa tromperie, et de toute cette souffrance qu’il m’avait fait endurer durant cinq jours, alors qu’il baisait une autre femme. Dit comme ça, je suis sûre que tu serais capable de comprendre. Mais je n’ai pas choisi n’importe qui, je l’ai choisi lui, celui qui faisait tourner son monde, celui qu’il considérait comme son frère. Tobias. Je suis une salope. Le mot correspond parfaitement, et pourtant, je suis là à sourire à deux pauvres inconnus qui se croient nos amis, là à déballer un amour puant le mensonge, un amour qui n’est plus nôtre. Ou en tout cas, qui n’y ressemble plus vraiment. Tu sais ce que j’ai eu envie de leur crier ? D’aller se faire foutre tout simplement. D’aller se faire foutre avec leurs phrases toutes faites à la con, leur putain d’envie de nous ressembler qui crevait les yeux, leur jalousie et leur adulation qui suintaient par tous les pores de leur peau. Parce qu’on ne ressemblait en réalité pas à tout ce qu’ils disaient de nous, parce qu’on n’était des menteurs et que je détestais ça. Je sais ce que tu me dirais si tu lisais mes mots. Sois honnête. Mais je n’en suis pas capable. Malgré ma colère contre leur aveuglement, j’adulais ces moments où on se faisait passer pour ce que nous n’étions plus, car, pendant un moment, j’avais l’impression de respirer, de vivre, d’exister quelque part. Pour lui.

Et puis c’est arrivé, sans savoir pourquoi, elle a glissé sur ma joue sans que je ne la voie venir. La première larme. Que j’ai essuyé discrètement d’un revers de la main. J’ai rapidement constaté qu’Inno l’avait vue car un instant de flottement s’est fait sentir, durant lequel il perdit toute contenance et ne sut pas que faire. Mais rapidement, il s’est reprit, d’ailleurs, je suis certaine que nos amis n’ont rien vu car c’était allé vite. Trop vite pour ceux qui ne nous connaissaient pas réellement. Donc trop vite pour tout le monde, presque même pour nous. J’ai craqué sans le vouloir, ça arrivait parfois, mais on rattrapait toujours le coup parce que c’était une des choses que nous savions le mieux faire. Après nous détruire évidemment. Elle est sortie toute seule maman, l’accumulation de la douleur je crois. Inno ne sait pas d’où je sors cette sensibilité, d’après lui, ce ne peut être de vous parce que vous sembliez tout sauf humains. Parfois, je me dis qu’il a peut-être raison. Vous étiez tellement durs avec moi, comme si je ne faisais jamais assez, comme si qui j’étais n’était pas suffisant. Peut-être que si vous aviez été différents, je l’aurais été aussi. Je n’aurais pas eu à fuir avec Inno, et tout cela ne serait pas arrivé. Mais moi, contrairement à vous, j’ai réussi à me contenter de ce que vous étiez, ce que vous n’avez jamais su faire. Et regardez moi aujourd’hui, à chialer à tout va, pour un oui ou pour un non. Il a fini par se racler la gorge, alors que je commençais à ranger mes affaires dans mon sac. Cette larme a été le signal de départ, il s’est douté qu’il s’en suivrait beaucoup d’autres. J’ai posé mes verres fumés sur mon nez parce que je ne voulais pas qu’on voit ma tristesse, j’ai posé un sourire sur mes lèvres parce que je ne voulais pas qu’on voit ma douleur. Nous avons dit au revoir poliment, on a même été jusqu’à prévoir un autre rendez-vous comme celui-ci, puis on s’est barrés tels deux guerriers dignes et fiers. Il a entouré mon épaule avec son bras, dans un geste qui se voulait réconfortant et que je voulais sincère. Et j’ai craqué. Purement et simplement. On s’est arrêtés sur un banc, et, comme avant, il m’a réconfortée en se mettant à aborder tous les sujets de discussion possibles. Il souriait maman. Et qu’importe tous les mensonges qu’on enchaînait, j’ai su qu’à cet instant, j’avais à côté de moi l’homme d’Italie, l’homme qui m’aimait et qui ne m’aurait abandonnée pour rien au monde. Alors, je me suis simplement abandonnée à lui, logée contre lui, dans ses bras. Et j’ai regardé le soleil se coucher, et j’ai fermé les yeux pour arrêter de voir ma vie s’écrouler une nouvelle fois. Dans quelque secondes, tout allait changer. Dans quelques secondes, on allait reprendre notre jeu. Et j’en tremblais. Pas à cause de la peur, mais plutôt du dégoût. Parce qu’une fois de plus, un étranger allait se glisser entre mes cuisses, une fois de plus, j’allais simuler un orgasme trop vite arrivé, une fois de plus, j’allais poser ma tête sur ce torse dégueulasse alors que je ne rêvais que d’une chose, sentir son odeur, toucher son corps, embrasser ses lèvres. Mais je n’ai pas le choix tu sais, c’est ainsi qu’on fonctionne désormais. Même si une seule envie m’agite, celle de cesser tout cela, et de construire un nouveau monde où nous serons simplement heureux. Juste ça, et rien d’autre. Heureusement que je ne t’envoie pas cette lettre, tu aurais sans doute eu une attaque en lisant ces mots, et pourtant maman, voilà à quoi ressemble mon quotidien. Faire semblant le jour, être baisée la nuit. Bienvenue dans mon monde.
justify]



I USED TO LIVE ALONE BEFORE I KNEW YOU

[justify]
perla rechercheuntitrecommed'hab. Plage313
Hélène, je m’appelle Hélène, je suis une fille comme #SBAFF#. En effet, dès mon plus jeune âge, on m’appelait déjà Hélène et les garçons. Coïncidence, JE NE CROIS PAS (a). En tout cas, pour les intimes HLN, ou tout autre surnom de votre invention. J’habite dans une petite bourgade – j’adore ce mot haha – appelée… Je ne vous dirai rien, je ne veux pas qu’on me retrouve morte un beau matin. Je vais sur mes dix-huit ans, fin juillet plus exactement, j’ai donc le bac à la fin de l’année. Bac scientifique pour ne rien vous cacher, ah et spécialité mathématiques histoire de montrer à quel point je suis suicidaire. Mais ne vous y trompez pas, je suis conne, Cam – disons Inno – pourra vous le certifier. Je fais accessoirement du latin – obligation des parents histoire d’avoir une option au bac – et d’ailleurs je passe l’épreuve dans deux semaines – bonne chance à moi-même –. D’ailleurs, pour m’endormir le soir, je me répète mes commentaires de latin – folle, vous avez dit folle (a) –. Vous pourrez remarquer que je fais souvent des petites remarques personnelles qui ne servent strictement à rien. J’ai connu le forum grâce à Cam également, quand on aime, on suit (a), et même si je l’aime d’un amour immense, j’ajouterai que je passerai sans doute tous les jours, mais que je rp plus le w-e, car en semaine, je travaille et mon père ne veut pas que j’aille sur l’ordi. Je pense que – prends la voix de La Voix – c’est tout, pour le moment (a).
bannière par crédit.
icon par crédit.
Revenir en haut Aller en bas
Andie J. Sawyer-Hawkes

Andie J. Sawyer-Hawkes
ANDIE ☂ I'M JUST A SUMMER GIRL
✌ date d'arrivée : 07/04/2011
✌ tentes plantées : 946
✌ âge du perso : 22yo.
✌ jobs/études : serveuse à ny, barmaid au camping.
✌ côté coeur : je ne le sais pas moi même.
✌ activité préférée : embêter mon caca d'amouur ♥
✌ campeurs préférés : à venir
✌ jukebox : lifehouse - you and me.

✌ célébrité : amberheard.
✌ crédits : ma lau.
✌ pseudo : nevermind.

perla rechercheuntitrecommed'hab. Empty
MessageSujet: Re: perla rechercheuntitrecommed'hab.   perla rechercheuntitrecommed'hab. EmptyMer 1 Juin - 20:26

meuf, j'veux pas dire mais t'as fait buguer toute ta fiche perla rechercheuntitrecommed'hab. 1881463262
mais bienvenue I love you
t'as fini ? perla rechercheuntitrecommed'hab. 4153354820
Revenir en haut Aller en bas
Innocenzo Tomek Zilocchi

Innocenzo Tomek Zilocchi
IT'S ME ! ✌ THE SUMMER NEVER ENDS
✌ date d'arrivée : 22/04/2011
✌ tentes plantées : 64
✌ jukebox : ellie goulding ▬ your song.

✌ célébrité : adam brody.
✌ crédits : miss volchok.
✌ pseudo : wasted comets ; cam.

perla rechercheuntitrecommed'hab. Empty
MessageSujet: Re: perla rechercheuntitrecommed'hab.   perla rechercheuntitrecommed'hab. EmptyMer 1 Juin - 20:28

Elle est vraiment naze, celle-la. J'ai été la chercher où ? Rolling Eyes

BIENVENUE MA HLN I love you Au nom de nos amours, kas&Jules.
Revenir en haut Aller en bas
Perla Requiem Di Duca

Perla Requiem Di Duca
IT'S ME ! ✌ THE SUMMER NEVER ENDS
✌ date d'arrivée : 22/04/2011
✌ tentes plantées : 47
✌ âge du perso : 22 y.o.
✌ côté coeur : innocenzo, le seul, l'unique. et pourtant.
✌ jukebox : .

✌ célébrité : mirandahotkerr
✌ crédits : hell's angel
✌ pseudo : HLN.

perla rechercheuntitrecommed'hab. Empty
MessageSujet: Re: perla rechercheuntitrecommed'hab.   perla rechercheuntitrecommed'hab. EmptyMer 1 Juin - 20:30

    je suis une sous douée des fiches, c'est certifié aujourd'hui ><
    mais oui j'ai fini (a).
    et je t'emmerde ma cam SACHE perla rechercheuntitrecommed'hab. 984495496
Revenir en haut Aller en bas
Andie J. Sawyer-Hawkes

Andie J. Sawyer-Hawkes
ANDIE ☂ I'M JUST A SUMMER GIRL
✌ date d'arrivée : 07/04/2011
✌ tentes plantées : 946
✌ âge du perso : 22yo.
✌ jobs/études : serveuse à ny, barmaid au camping.
✌ côté coeur : je ne le sais pas moi même.
✌ activité préférée : embêter mon caca d'amouur ♥
✌ campeurs préférés : à venir
✌ jukebox : lifehouse - you and me.

✌ célébrité : amberheard.
✌ crédits : ma lau.
✌ pseudo : nevermind.

perla rechercheuntitrecommed'hab. Empty
MessageSujet: Re: perla rechercheuntitrecommed'hab.   perla rechercheuntitrecommed'hab. EmptyMer 1 Juin - 20:34

je te valide alors perla rechercheuntitrecommed'hab. 2752390508
Revenir en haut Aller en bas
Perla Requiem Di Duca

Perla Requiem Di Duca
IT'S ME ! ✌ THE SUMMER NEVER ENDS
✌ date d'arrivée : 22/04/2011
✌ tentes plantées : 47
✌ âge du perso : 22 y.o.
✌ côté coeur : innocenzo, le seul, l'unique. et pourtant.
✌ jukebox : .

✌ célébrité : mirandahotkerr
✌ crédits : hell's angel
✌ pseudo : HLN.

perla rechercheuntitrecommed'hab. Empty
MessageSujet: Re: perla rechercheuntitrecommed'hab.   perla rechercheuntitrecommed'hab. EmptyMer 1 Juin - 20:38

    MERCI perla rechercheuntitrecommed'hab. 2806429274
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

perla rechercheuntitrecommed'hab. Empty
MessageSujet: Re: perla rechercheuntitrecommed'hab.   perla rechercheuntitrecommed'hab. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

perla rechercheuntitrecommed'hab.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

+
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
STARS OVER MY HEAD ::  :: I CAN'T GET AWAY FROM YOU :: .INSTALLE TA CARAVANE-
Sauter vers:  
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit