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 « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »

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Kingston-P. de Calthorpe

Kingston-P. de Calthorpe
IT'S ME ! ✌ THE SUMMER NEVER ENDS
MACHISTADORput your paws up

✌ date d'arrivée : 02/06/2011
✌ tentes plantées : 53
✌ âge du perso : 19 ans
✌ jobs/études : WTF?
✌ côté coeur : Célibataire
✌ activité préférée : Prendre du bon temps
✌ campeurs préférés : Ton père, c'est un bon coup.
✌ jukebox : right here, right now FATBOY SLIM

✌ célébrité : Robert Sheehan
✌ crédits : Catwalk Culture
✌ pseudo : Catwalk Culture
Age : 28

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MessageSujet: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyVen 3 Juin - 11:09

« A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » Tumblr_ledym95bFX1qby498

Il était assez tard, le camping était dépourvu de population, les gens étaient bien trop occupés à surveiller leurs marmots qui prenaient du bon temps à la « Mini Disco » - qu’est-ce que ça pouvait être ringard – tandis que les jeunes étaient déjà partis se défoncer la gueule à coup de Tequila et de Margarita. Pourquoi j’en faisais pas partie ? Y’avait pas vraiment de raison. Seulement que plus la soirée avançait, plus je me disais qu’il fallait que je me bouge le cul pour les rejoindre. Le problème ? Je sentais le poisson pourri à un kilomètre à la ronde. Je marchai donc à travers les allées du camping en direction des douches communes ; c’était assez répugnant quand on y regardait les douches communes. On était jamais réellement sûr d’être seul et on pouvait se retrouver à tous moments face à un cul poilu… ou pire. Enfin, j’allais pas m’en plaindre.

Avant même d’entrer dans une des cabines de douche, je fis tomber le short de bain que j’avais et le jetai sur un des lavabos ; après tout, il n’y avait personne, je l’avais dit moi-même (et tout ce que je disais était fondé et réel) Je fouillai dans mon sac et sortit mon Smartphone, là, je cherchai une musique potable et fis envoyer la sauce dans les douches. Phil Collins hurlait à présent son célèbre I Can Feel it Coming in the Air Tonight. L’ambiance était… Merdique. Néanmoins y’avait de la musique, c’était le principal. J’entrai dans une des cabines armé de mon shampoing et de mon savon, et entrepris mon lavement.

« And I can feel it coming in the air tonight, Oh Lord I've been waiting for this moment for all my life, Oh Lord I can feel it coming in the air tonight, Oh Lord » Je chantai, la bouteille de shampoing entre les mains en guise de mirco. Je faisais tellement pitié, heureusement que personne n’avait eu l’intention de venir prendre une douche, ma réputation en aurait pris un coup. Et quelle réputation. Non pas que je m’intéressais à ce que les gens pensaient de moi mais quand même, y’avait des limites. Et me voir chanter du Phil Collins (comme une merde) et à poil… Pas bon…

Ayant fini, frais comme un gardon, je sortis de la douche, toujours en chantant, d’ailleurs, ce n’était plus l’autre tapette qui passait maintenant mais Beyoncé et son tristement célèbre, Single Ladies. Pour avoir vu ma sœur danser des milliards de fois la chorégraphie, je la connaissais sur le bout des doigts. C’est comme ça que cul-nu, je commençai cette célèbre danse des « femmes célibataires ». J’m’y croyais vraiment, dans le genre, il ne m’aurait manqué plus que le body noir et l’affaire était dans le sac, vous aviez Beyoncé devant vous, et vous n’y auriez vu que-du-feu. Ouais ouais. Sauf que j’aurais dû me douter, que danser Single Ladies dans des douches communes c’était risqué. Risqué, oui c’était le mot. Parce que je venais de me faire griller et en beauté. Constance se tenait devant moi, un sourire aux lèvres. J’étais à 200% sûr qu’elle avait vu TOUT mon manège. NOM DE DIEU. Non mais qu’est-ce qu’elle foutait là elle, elle pouvait pas être avec les autres, comme n’importe quelle fille normale de ce camping. Je poussai un cri et cachai de mes mains ma dick. Fallait que je sauve le peu de dignité qu’il me restait.
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Constance-Opale V. Jawles

Constance-Opale V. Jawles
IT'S ME ! ✌ THE SUMMER NEVER ENDS
✌ date d'arrivée : 21/04/2011
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✌ âge du perso : 19YO.
✌ jobs/études : étudiante en ingénierie, auteur.
✌ côté coeur : au centre gauche.
✌ activité préférée : écrire, manger des cacahuètes soufflées.
✌ jukebox : you'll see, babe.

✌ célébrité : abKERSHAW
✌ crédits : sinnerwhisper (avatar).
✌ pseudo : hiboursmadness.

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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyVen 3 Juin - 18:20

Le mini disco bat son plein, animé par l'espèce de bonhomme un peu gros prenant bien souvent une voix extrèmement bizarre. Mais bon, les enfants aiment ça, c'est l'essentiel. J'aurais dû partir avec elle, l'accompagner en boîte, encore. Je me serais trouvé un autre jeune homme pour la nuit alors que le dernier vient tout juste d'être viré de mon lit. Je déteste m'éterniser, une nuit, c'est une nuit rien de plus. Mais là, la différence étant que ça a duré toute l'après-midi. Une très belle après-midi d'ailleurs. Je ne peux pas le nier, ce mec était un bon coup et ça ne me dérangerait pas du tout de le recroiser. La nuit tombe et dépose son voile sur nom. Bientôt les gosses du mini disco iront dormir, ne se doutant certainement pas que pasmal des plus ou moins jeunes adultes de ce camping seront entrain de détruire leur vie. Mais combien y a t-il de vies dans ce camping qui vont être détruite ? Combien de personnes vont mourir avant d'attendre quatre-vingt ans ? Et bien, j'en fais partie mon cher. Je fais partie de ces gens qui se détruisent, qui vivent au jour de le jour. « Carpe Diem » disent-ils. Et bien, ils ont raisons, c'est tout à fait ça. Est-ce normal que je réfléchisse toujours autant pour rien ? Que je me pose des questions inutilement ? N'aurais-je pas faire commema mère et choisir philosophie comme études plutôt qu'ingénierie, sachant que jamais je ne travaillerais comme ingénieur. Peut-être c'est ça qu'elle disait sans arrêt, que j'avais ce don de penser, que je serais une penseuse. Pauvre de moi.

Allez savoir pourquoi et comment j'ai finalement atteint mon but ultime. Les douches. Communes malheureusement. Je les avais évité, bon, trop tard. Ces douches me perturbent et me font flippée grave. Imagine, j'y croise un vieux pédophile, baah. Flippant. Je me stoppe devant l'entrée. Mon téléphone s'agite dans mon sac, sans doute l'autre bitch qui souhaite savoir ce que je compte faire de ma soirée sabbatique. Je cligne des yeux. Une voix familière me parvient, un jeune homme chantant. Un jeune homme particulier .. Kingston. Il chante du Phil Collins, qui l'eut crut ? Bon, il ne chante pas très faux, mais sa voix serait à retravailler, c'est un peu -beaucoup- du n'importe quoi bien que les paroles soient su par coeur. J'étouffe un éclat de rire, la suite, la suite, la suite. La musique change pour laisser place à Single Ladies de Beyonce. Pauvre chanson, pauvres jeunes femmes célibataires. Oh, mais je suis célibataire. Enfin, pas grave. La suite me plaît, il ne m'a pas remarqué, il est à fond. Je le vois se tortiller à la manière de Beyonce et ses danseuses, c'est fun, qui aurait pensé qu'il était capable d'enchaîner des pas de danses. Vu comme ça, il est sexy. Je me mords la lèvre, m'empêchant de rire. Je veux voir le final. Son cri alors qu'il me découvre est sexy aussi, aigu, comme les cris dans les films d'horreur, les cris de pauvres blondes affolées. Ses mains lui servent de cache. Je souris, très fort, empêchant tout éclat de rires de sortir. « On se la joue Beyonce ? »
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Kingston-P. de Calthorpe

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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyVen 3 Juin - 18:54

« A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » Tumblr_lhiictykwo1qa7i2xo1_r1_500

Elle me regarde de ses yeux de larves. Je peux rien faire, d’habitude, c’est moi qui surprends les gens dans des situations embarrassantes et qui après, m’amuse à retracer leur expérience en les imitant grossièrement. Moi et personne d’autre, et certainement pas cette Constance qui va s’amuser à me rabâcher mon acte pendant les dix prochaines années. En plus, si je comptais me la faire avant la fin des vacances, c’est dès à présent mort. Comment voulez-vous séduire quelqu’un en dansant du Beyoncé. Non mais franchement. « On se la joue Beyoncé ? » Comme, si elle ne l’avait pas remarqué hein. Je la vois en train de se mordre les lèvres pour ne pas rire, saloperie. Je me dis qu’au point où j’en suis, je peux pas tomber plus bas et puis comme on dit ; le ridicule ne tue pas… (il assassine) Je lui souris avec charme et lance en haussant un sourcil. « Ça te fait envie hein. » Elle lève les yeux au ciel d’un air de dire « Ouais c’est ça. T’es aussi sexy que mon grand-père faisant un strip-tease. » Etant quand même en tenue d’Adam, je m’approche de l’évier où se trouve mon sac à dos et en extirpe des vêtements. Caleçon Pull-In (Est-il utile de préciser qu’il est orné de grosses fraises rouges ? Bien mon gars, t’as tout juste), pantalon cigarette, sweat arborant le logo de Massey University (Célèbre université de renommé mondiale en Nouvelle-Zélande, non pas que j’y sois inscris mais tout simplement parce que mon cousin y est, et qu’avec ça, j’ai l’air intelligent) et mes sneakers Nike en siècle. Sentant le poids de son regard je me retourne. Comme je l’avais prédit, elle m’épie de haut en bas, avec toujours ce sourire suffisant aux lèvres. « Tu sais, si tu continues de me regarder comme ça. Je vais me sentir obligé de t’emmener dans une de ces douches… » lui dis-je tout en désignant les intéressées du doigts l'air parfaitement serieux.


Dernière édition par Kingston-P. de Calthorpe le Sam 4 Juin - 19:50, édité 1 fois
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Constance-Opale V. Jawles

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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyVen 3 Juin - 20:48

Je m'efforce toujours de ne pas rire. Et lorsqu'il arque son sourcil, je ne peux m'empêcher de penser que ses sourcils sont en faite énorme et qu'il pourrait quand même se les épiler. Mais merde quoi. C'est pas une meuf. Mon combat intérieur fait rage. Il a tord, ça ne me fait pas envie du tout. Il le sait, qui ne le saurait pas. Je le regarde de travers, toujours souriante. Il bouge, attrape ses fringues. Putain, mais il craint un max ce mec, quand même. Comment vais-je faire pour le supporter durant l'élection miss et mister camping. Enfin, tout mon courage sera récompensé parce que nous gagnerons. Ilme tourne le dos, j'en profite pour regarder le menu. Ce premier soir, j'aurais pu cédé, faire comme toutes les autres et coucher avec lui. Il n'est pasdes plus laids, il n'est pas des plus nuls. Il se trouve que j'étais dans un de ces soirs où je suis plutôt clairvoyante, et ce soir là, n'était pas son soir de chance. Il a du aller voir ailleurs. Il se retourne, me fait face. Je pourrais faire tellement de choses en l'espace de cet instant précis. Je largue mon sac sur un des lavabos, mon portable s'y agitant toujours. Maudit détail. Décidément, cette fille a beau être ma meilleure amie, je la hais à ce moment précis. « Tu sais, si tu continues de me regarder comme ça. Je vais me sentir obligé de t'emmener dans une de ces douches... » Je le regarde, hausse un sourcil et relâche enfin ma lèvre. Je fais un pas vers lui toujours souriante. Il pourrait se passer tellement de chose, il aurait pu se passer tellement de chose si sa mort ne me hantait pas encore. Je crois que je serais plus relâchée, plus zen, mais plus excitée. Peut-être ressemblerais-je d'avantage à ma meilleure amie. Pauvre jeune fille intelligente, douée et magnifique jouant l'idiote, perdue et complètement bimbo.

Je m'avance toujours vers lui, si bien qu'il ne reste plus que quelques centimètres nous séparant. Je le scrupte entièrement, de bas en haut. Je ralentis sur ses lèvres, et je m'arrête sur ses yeux. « Mais c'est que ce serait presque sur le ton du défi mon cher Kinsgton. » Je ne sais pas pourquoi, sans doute une chose que je ne saurais jamais, mais je sens qu'avec ce mec, ces vacances vont être géniales. Dans son arrogance, il est ridiule. Il est ridicule mais grandiose. Mes regards insistants recommencent. Une fois de plus, je m'arrête à ses yeux. Je meurs d'envie de me foutre de sa gueule d'ange, je meurs d'envie de lever la main et l'agiter comme il l'a fait plutôt pour imiter Beyonce. Je meurs d'envie de me mettre à chantonner Single Ladies en dansant comme il l'a déjà fait. J'en meurs d'envie, mais je ne le ferais pas. Parce que j'en suis incapable, parce que j'ai peur de ce qui arrivera à la suite. Finalement, je ne suis pas des plus courageuses. Je dirais que je ne le suis pas du tout. Je ne suis pas une forte, je ne suis pas une facile. Je ne suis pas féministe, mais je ne suis pas contre le féminisme. Ai-je encore besoin de trouver qui je suis ? Non, je suis de ces gens qui n'ont pas de cases. Et lui, Kingston est dans celle des hommes complètement ridicules et arrogants mais qui font craquer un tas de nanas. Ferais-je partie de ces nanas ?
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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyVen 3 Juin - 21:42

Elle est bizarre cette fille quand même. Je ne sais pas, moi si je tombe sur quelqu’un en train de faire une danse toute pourri à poil qui plus est dans des douches communes, excusez-moi du peu mais, cette personne n’aurait plus de vie, je ferais de son paradis un enfer, vraiment. Mais elle, elle continue de me regarder, son sourire aux lèvres. Mais je suis pratiquement sûr qu’elle a envie de rire, d’un côté c’est normal, j’avais bien l’air con. Néanmoins, elle s’approche de moi d’une démarche sensuelle. Oui, j’ai bien dit « sensuelle », vous ne rêvez pas. Si bien qu’à présent une distance infime nous sépare. Je peux sentir son souffle dans mon coup. « Mais c'est que ce serait presque sur le ton du défi mon cher Kingston. » Je rêve, elle me fait du gringe ? Ce n’est pas les paroles qu’elle vient de dire qui sont à l’origine de la drague mais plutôt la façon dont elle l’a dit, genre… Ouais genre. Palalala, la petite Constance avec son cadenas là où je pense me titille. On aura tout vu. De là où je suis, je peux voir qu’il n’y a pas beaucoup de monde au balcon, néanmoins ça fait son petit effet. Je pince les lèvres et ferme les yeux. « Quel défi ? Tu crois vraiment que toi et moi * je nous montre alternativement, les douches, elle et moi du doigt * dans une douche ce serait un défi ? Je suis très sérieux moi, je ne joue pas. » Je ferme les yeux et fais une sorte de grimace, qui s’avère être une expression tout à fait habituelle pour moi. « Erf… Mais de toute façon, t’es une coincée. J’ai beau faire n’importe quoi. Même cette tête là * Je désigne mon visage du doigt et me mords la lèvre inferieur tout en plissant les yeux * Tu restes de marbre. T’es bien une des seules à tenir aussi longtemps. » Je fais quelques pas en arrière et m’éloigne d’elle tout en attrapant mon sac pour y fourrer mon short de bain et mon iPhone qui par ailleurs diffusait maintenant On Melancholy Hill de Gorillaz. « Enfin ça arrivera de toute façon, je me fais pas de bile pour ça. » dis-je tout en prenant un air arrogant. Je me regarde dans le miroir au-dessus des lavabos pour examiner mon visage. Je passe une main dans mes cheveux mouillés et fais un clin d’œil au miroir. Je sais qu’en faisant cela, elle va me trouver insupportable, c’est bien le but. Je me retourne d’un air intéressé vers elle. « Au fait, t’étais là pour quoi si c’était pas pour te laver ? »
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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyVen 3 Juin - 22:21

Ce gars m'insupporte, et ne cherchez pas à comprendre pourquoi j'agis comme ça. Sans doute une pathologie entrain de se développer dans ma cervelle. Je deviens sûrement folle. Mais j'aime bien. « Quel défi ? Tu crois vraiment que toi et moi dans une douche serait un défi ? Je suis très sérieux moi, je ne joue pas. » je le regarde agir, dieu q'uil est bizarre. Je le défiais et il n'a pas relevé le défi, n'importe quel mec digne de ce nom l'aurait relevé. Je ne pers pas mon sourire pour autant. Il reprend la parole pour, à tout les coups, dire des conneries. « Erf.. Mais de toute façon, t'es une coincée. J'ai beau faire n'importe quoi. Même cette tête là. Tu restes de marbre. T'es bien une des seules à tenir aussi lontgemps. » Du moins en apparence. Je suis de marbre en apparence. J'aime ça, donner l'impression au mec qu'ils ne sont rien, qu'ils ne peuvent pas m'avoir. J'aime cette sensation. Il s'éloigne. Je cligne des yeux, détourne le regard pour fixer les douches. La raison de ma venue ici. Il attrape son sac, y fourre ses affaires. « Enfin ça arrivera de toute façon, je me fais pas de bile pour ça. » Il recommence à prendre son arrogance, je n'aime pas du tout du tout ça. Il se fait un clin d'oeil, narcissique. « Au fait, t'étais là pour quoi si c'était pas pour te laver ? » Il se retourne, m'observe. Je souris, lui tourne le dos et retire ma robe liberty après avoir retiré mes spartiates. Je ne lance aucun regard par dessus mon épaule, je ne souhaite pas savoir s'il me regarde encore, je ne souhaite pas savoir s'il est partit. Toujours en sous-vêtements, je fourre ma main dans mon sac afin d'en sortir mon shampoing et mon gel douche. Mon parfum fétiche ? La vanille. Mon shampoing sent la vanille, mon déo aussi. Mon parfum ? Fuel for life de Diesel. Quant à mon gel douche, j'ai choisit au monoï, c'est un odeur douce et captivante. Je me penche et dépose les savons dans la douche. Je sors ma serviette, la pose sur mon sac afin de pouvoir l'attraper dès que j'en aurais besoin. Je replonge dans mon sac à la recherche de la chose qui vibre depuis tout à l'heure. Mon iPhone. Je lance Single Ladies et jette juste un regard par dessus mon épaule pour voir s'il est toujours là. Je ne cesserais jamais de le lui rappeler. Cette mésaventure restera. Je ris.

Finalement, je me fiche pas mal de sa présence. Je glisse une main dans mon dos et dégraffe habilement mon soutien gorge que je dépose dans mon sac. J'aime bien ce geste, naturel. Un geste pourtant difficile à exécuter. Certains n'arrivent pas à dégraffer un soutien-gorge. Pas seulement chez les filles,mais les mecs quoi. Il m'est déjà arrivé de tomber sur des mecs ne sachant pas y faire. J'ai eu la chance d'avoir une première fois à la hauteur de mes attentes, avec le mec de mes rêves. Alors lorsque j'ai couché avec un autre homme, disons que ma déception a été telle que j'aurais souhaité ne jamais avoir couché la première fois. Mais finalement on s'habitue. On découvre qu'il existe d'autres 'dieux du sexe', qu'il n'était pas le seul à savoir y faire. C'est quann même toujours la même chose quand un mec galère, enfin, pour moi, c'est le fou rire. En principe, ça gâche la nuit. Comme quoi, qu'avec moi, il faut être doué.
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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptySam 4 Juin - 11:10

Elle me fait un petit sourire, se met dos à moi et commence son déshabillement. Elle enlève sa robe et ses chaussures pour se retrouver finalement en sous-vêtement. Je crois que c’est parce que je lui ai dit qu’elle était coincée, qu’elle veut me montrer de quoi elle est capable. Pendant qu’elle fouille dans son sac, j’examine son corps qui, il faut l’admettre, est on ne peut plus parfait. Ce qui est bien avec elle, c’est qu’elle est grande, elle doit faire 2 ou 3 centimètres de moins que moi… J’aurais pas besoin de baisser la tête si on s’embrasse. Oui, je pense à tout, à toutes les options qui me sont données. Non mais sérieusement. Vous avez déjà dû embrasser quelqu’un faisant deux têtes de moins que vous ? Non ? Et bien vous aurez eu l’air con si vous l’aviez fait et Dieu sait de quoi je parle. Elle continue son manège, moi je me contente de regarder, le pire c’est qu’elle m’ignore complètement là ; à checker ses sms ou je ne sais quoi. Je l’observe inlassablement ; j’avais pas remarqué mais elle est quand même belle à bien y regarder. Ce que j’aime surtout, c’est son piercing au nez. Sur toute personne normale sur terre, ça aurait fait vieux bœuf puant la bouse, mais chez elle, ça donne un petit côté sirène… Hein ? Mais pourquoi je parle comme ça moi ? Je fais tellement pitié des fois, s’en est triste. Faudrait que je pense à consulter, je vais tourner gay si ça continue. Après Single Ladies, voilà maintenant que je me surprends à trouver des métaphores qualifiant une fille. Franchement. Puis ça m’étonnerai pas vraiment de tourner homosexuel, à bien y regarder, ça change pas grand-chose… Hum… Heureusement que personne ne peut lire dans mes pensées… J’espère que l’autre dame en face de moi elle a pas des super pouvoirs… Non mais ma gueule quoi.

Single Ladies reprend de plus belle, sauf que cette fois, ce n’est pas moi qui l’ai mise, ça vient de son téléphone. La garce, je savais qu’elle n’en resterait pas là. Méchante femme. Elle me lance un regard oblique tout en souriant en coin, pour voir si je vais réagir et me relancer dans ma danse. Non madame. J’ai pas bougé, je te regarde toujours depuis tout à l’heure. Finalement je retire tout ce que j’ai dit depuis le début, c’est pas une sirène, c’est un cachalot. Elle passe une main dans son dos et dégrafe son soutien-gorge avec un simple jeu de doigt. Mouais douée. Moi, j’ai un don, oui un don, j’arrive à dégrafer un soutient gorge avec les dents, clac clac, ça va vite, c’est cool et ça donne un petit effet de celui qui est trop habitué à ce genre de situation. M’enfin, les filles sont à chaque fois impressionnées, quand elles sont consentantes, pas quand il se trouve que ce sont de parfaites inconnues à qui j’aurais fait ça dans la rue, comme ça, tranquille, juste pour m'amuser; elles réagissent toujours plus violemment elles. Finalement, Constance entre dans une cabine de douche, la musique toujours tournante, moi toujours aussi con planté en face de cette paroi close qui nous sépare. Je m’approche de la porte et donne quelques petits coups secs. « Tu me laisses entrer. C’était le deal. » Quel deal, y’en avait pas, mais peut-être qu’elle s’embrouillera les pinceaux et par un quiproquo me laissera rentrer. Je l’entends protester et me dire que je pouvais crever devant elle, qu’elle me laisserait pas rentrer. Ouais bon, pour une qui se la jouait Mia Wallace quelques minutes plus tôt, elle me déçoit un petit peu. « Allez Constou, laisse-moi entrer. Je serais sage. » Je me pose devant la porte, les mains sur les hanches, la bouche pincée. Je sais très bien qu’elle ne peut pas me voir mais si on était dans un film, ça donnerait un petit effet de style.
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Constance-Opale V. Jawles

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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptySam 4 Juin - 12:30

Je retire mon dernier sous vêtement après être entrée dans la douche, je refeerme la porte derrière moi. La serviette posée dessus. Je ne sais pas s'il part, ou s'il reste encore. Je sais qu'il est resté quand je me déshabillais. Je pousse un léger soupire, l'eau ne se règle quasiment pas ici, fraîche. J'ai besoin d'une bonne douche fraîche. J'allume l'eau mais des coups secs me sortent de mon songe. Kingston est toujours là et quelque chose me dit qu'il aimerait bien y rentrer. Je souris, l'eau coule lentement. J'aime bien ça, c'est une autre sensation agréable, physique cette fois-ci, sentir l'eau glissée sur ma peau, c'est tellement doux. J'aime beaucoup la pluie parce qu'elle reproduit à l'eaxctitude cette sensation, si ce n'est plus intense. « Tu me laisses entrer. C'était le deal. » Mais quel deal ? Il n'y a aucun deal qui stipule qu'il doit me rejoindre sous la douche. J'étouffe un éclat de rire. Décidemment ce mec n'arrêtera jamais de me faire rire. « Tu pourrais crever, je ne te laisserais pas rentrer. » S'il ne joue pas, je m'en fiche car, moi, je joue et j'aime ça plus que tout. Je ferme les yeux, laisse l'eau couler sur mon visage. « Allez Constou, laisse-moi entrer. Je serais sage. » Sage ? Vraiment ? Que veut dire sage pour lui ? Si je le faisais rentrer que se passerait-il ? Nan, mais il peut toujours crever. Et puis, Constou ? C'est quoi ce surnom de merde ? La musique tourne toujours. Je ne reconnais pas quelle chanson est-ce, mais je m'en fiche. Je m'appuie contre le mur et fixe la porte, du moins cet espèce de gros machin en bois ciré. Je fixe le loquet. A moitié cassé, il pourrait céder à tout moment. Mais bon, je n'ai pas non plus envie de me retrouver nue face à cet espèce de pervers qui attend de vant la porte, ça craint. J'attends, je ne sais quoi, mais j'attends. « Si je t'ouvre, tu comptes faire quoi si c'est pour rester sage ? » Ah si, je reconnais la musique qui passe derrière. Jet Lag, de Simple Plan et Natasha Bedingfield. J'aime bien cette musique. Je lève les mains, j'atteins l'espèce de jet d'où sort l'eau.

Je bouche les trous un par un, attendant toujours ma réponse. Je pense qu'il réfléchit. Ou alors il est partit. Ouais, peut-être qu'il est partir. Je ne vois rien de mon point de vue. Le loquet me tente, ouvrir et jeter juste un coup d'oeil. Rapidement, ça prendrait juste quelques secondes. Je m'approche de la porte, l'eau s'est arrêtée de couler, j'attrape ma serviette qui était posée sur la porte. Je l'enroule autour de moi. Je pose la main sur le loquet, il suffirait d'un seul geste, un seul et unique geste rapide pour vérifier qu'il soit toujours là. J'hésite encore, je colle mon oreille à la porte pour essayer d'entendre un souffle. Mais je n'ai pas l'ouïe ttrès fine et écouter à travers les portes n'est pas mon fort. Je ne suis pas bonne espionne. Je ferme les yeux, inspire, expire. D'un geste brusque, j'ouvre le loquet, entrouvre délicatement la porte.
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Kingston-P. de Calthorpe

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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptySam 4 Juin - 13:43

J’attends, encore une fois comme un imbécile devant cette porte close. Elle s’entête. Elle m’exaspère surtout. J’en ai marre de me prendre des vents depuis le début le début des vacances. Non mais c’est vrai quoi ; j’ai dû me prendre vingt râteaux à tout casser depuis deux semaines. Bon bien entendu, les filles après craquent mais quand même, elles me remballent au premier abord. Je reste, toujours mains sur les hanches, comme je le suis depuis le début. « Si je t'ouvre, tu comptes faire quoi si c'est pour rester sage ? » Un sourire apparait sur mon visage, le but est proche. Je relâche ma pose mais ne réponds pas pour autant. A elle de voir si elle ouvre ou non. Je roule des yeux et réfléchis. C’est trop simple. Beaucoup trop simple, et j’aime bien jouer, sachant que je mène la danse. Je reste silencieux, et m’approche le plus discrètement possible d’où sont posées ses affaires. D’un geste rapide, j’attrape ses vêtements (soutien-gorge compris) et les fourre dans son sac. Je jette un coup d’œil à la serviette posée sur le haut de la porte… Si je lui prends, elle va me griller, et ce n’est pas ce que j’ai envie. Elle n’aura que ça pour se couvrir et risque de ne pas récupérer le reste de ses vêtements de sitôt. Pas tout de suite du moins. Je laisse son téléphone qui continue de diffuser de la musique et quitte la pièce sur la pointe des pieds, un sourire maléfique aux lèvres. Je sais qu’elle va me tuer en me retrouvant, car oui, je vais pas me casser avec ses fringues pour ne pas qu’elle me retrouve, ce serait salaud. (même si j’en suis un de première catégorie) Je suis tellement insupportable à bien y regarder, on se demande pourquoi les gens me fuient ; c’est ça la vie, mais on m’aime quand même, ils ne peuvent pas dire le contraire.

Je marche à travers les allées du camping, mon sac sur le dos et celui de Constance sous le bras. Je suis tellement excité, comme à chaque fois que je fais une connerie. J’ai l’impression d’être un gamin qui a attendu toute la nuit le père noël caché derrière un meuble. Ce même genre d’excitation qui fait des boules au ventre. Je bifurque pour prendre un chemin qui mène à la plage. Histoire qu’elle me trouve parce quand même, ce serait con de l’attendre toute la nuit sans qu’elle se ramène. Je dépose une sandale à l’entrée du chemin et continue sur celui-ci. Genre je suis le Petit Poucet. Arrivé sur le sable, je me pose dans celui-ci et sors de mon sac un joint que je m’allume derechef. Une bonne petite entrée avant le plat de résistance.
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Constance-Opale V. Jawles

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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptySam 4 Juin - 20:03

J'entrouvre donc la porte, oh. Bah, il est partit. Depuis quand ? A t-il abandonné dès mon premier refus ? Rah, ce mec n'a définitivement pas de couille. Je jète un regard sur mon cellulaire qui diffuse toujours la musique. Mais y a un bug là. Mon sac. Mon sac .. Oh pitié pas ça. Cet imbécile, ce con, ce salop, il a pas fait ça. Je sors de la douche, gardant la seviette serrée autour de moi, j'attrape mon cellulaire et entreprend ma recherche. Je le hais, ce mec est dégoûtant, je vais l'assassiner. Il m'insupporte, il est narcissique, égoïste et ces blagues ne me font pas rire. Ce mec je vais définitivement l'étrangler. Je sors du bâtement des douches, je suis le chemin. Ce mec va mourir. Un gamin me regarde avec des yeux de pervers, il a quoi treize ans tout au plus. Pouah, dégoûtant. Je serre la serviette contre moi, et mon cellulaire dans la main, j'accelère le pas. Le sol me fait mal au pied, je déteste ça, Kingston va payé. Je vais vraiment l'étrangler. Je sais que le chemin sur lequel je suis déboule sur la plage, et s'il n'est pas là, je rentre direct à ma tente. je trouve une de mes spartiates sur le sol. Wah, il est là.

« PUTAIN TU CRAINS ! T'es qu'un salop. » Je hurle, je le déteste. Je suis une véritable furie. Il n'est qu'à quelques mètres de moi, il fume tranquillement un joint. Je me poste devant lui. « Tu te rends compte que j'ai été zyeutée par une bande de pervers âgés de treize ans ? T'es grave lourd comme mec. » J'attrape mon sac posé sur le sable. Si je pouvais, je le claquerais volonbtiers, si je pouvais je l'étranglerais à l'en faire mourir. « Ecoute, t'es trop con comme mec, j'baiserais pas avec toi. » Je tourne le dos, m'éloigne un peu et enfile rapidement un boxer -noir et à dentelle- propre. Il m'énerve genre grave.
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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptySam 4 Juin - 20:36

Le fait de regarder les vagues se casser et atterrir sur le sable en fumant un joint est encore plus tuant. Néanmoins, ayant déjà le cerveau bien cramé par cette substance, je dirais que cela ne me fait pas vraiment grand-chose. Je me contente de regarder la mer, et au loin, les lumières à l’autre bout de la crique que forme l’endroit où le camping est. C’est frustrant de voir des néons, des lumières et entendre de la musique étouffée, alors que toi tu te fais trop chier où t’es… Plus pour très longtemps si Constance se décide à me trouver. Elle risque de d’abord me tuer, puis de me ré-tuer une nouvelle fois, et puis après… On pourra se réconcilier sur l’oreiller… Ou plutôt sur le sable. Parait que le faire la tête dans le sable c’est posé, mais qu’on se retrouve avec des grains de sable partout, y compris dans des endroits inappropriés. Je retire une latte de mon pétard et recrache immédiatement la fumée en formant de petits cercles éphémères, possible grâce au fait qu'il n'y ait pas de vent ce soir. (il m’a fallu 10 ans pour réussir à faire ça) Tiens… J’ouvre le sac de Constance, et commence mon inspection ; elle est pas là, je peux en profiter non ? Maquillage, miroir, iPod, rien de bien intéressant… A moins que… J’ouvre une pochette intérieur et là… La consécration. Des préservatifs. Un sourire se forme sur mes lèvres. Petite cachotière. Je les retire comme s’il se fut agi du Saint Graal. Je ris intérieurement. « PUTAIN TU CRAINS ! T'es qu'un salop. » Je fourre immédiatement ma quête là où je l’ai retrouvé pour éviter de me faire griller. Elle est là, elle m’a trouvé, et à sa tête, elle semble pas vouloir utiliser tout de suite ce que j’ai trouvé. Ses cheveux dégouline et elle ne porte qu’une serviette pour se cacher. Hurm hurm. Je me retourne vers elle, un immense sourire aux lèvres. « Plait-il ? » A son regard, je sens qu’elle va me frapper. Du moins je m’attends au pire. Elle s’approche de moi d’une démarche ferme et attrape son sac tout en disant. « Tu te rends compte que j'ai été zyeutée par une bande de pervers âgés de treize ans ? T'es grave lourd comme mec. » Je retire une bouffée de mon joint et la regarde d’un air de défi. « Pauvre enfant, tu aurais pu te faire violer par eux ! » Je tape dans mes mains, congratulations. Elle me lance un regard assassin et continue. « Ecoute, t'es trop con comme mec, j'baiserais pas avec toi. » Mouais, mouais, mouais. Elle se retourne et commence par se vêtir des vêtements que je lui avais dérobés. Je me lève et lui lance d’un ton salace. « Ton sac dit le contraire » Je fais semblant de tousser. Quoi ? C’est vrai, elle les a pas ramenés pour rien non ? Enfin, elle était pas censée savoir que j’étais en train de danser dans les douches mais quand même, je suis sûr qu’elle a pensé à moi en les mettant dans son sac. Je tire la dernière bouffée de mon joint et le jette dans l’eau. Fuck le réchauffement climatique. Tiens… J’ai chaud… Et puis, cette eau toute proche est bien tentante. Je me suis lavé y’a quelques minutes mais tant pis, après tout, c’est les vacances. J’enlève mon sweat, mon jean et mes pompes et lance tout en me dirigeant vers l’eau. « Constaaaaance veuuuuut coucheeeer avec moiiiiiiii ! »
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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptySam 4 Juin - 21:59

« Ton sac dit le contraire. » Quoi ? Qu'est-ce qu'il me raconte ? Putain. J'y crois pas, en plus d'être trop con, il est malpoli et irrespectueux. Je le regarde retirer ses fringues, bouche bée. Je m'approche de lui, toujours en furie, ce mec va me le payer très très très cher. « Attend, t'as.. » « Constaaaaance veuuuuut coucheeeer avec moiiiiiiiii ! » Mais ce mec, rah. « TAIS-TOI ! » Il plonge puis se tourne vers moi avec son air de défi du genre « si tu veux me faire taire, viens me chercher. » Je le fixe, serre les dents, fronce les sourcils. Ce mec est définitivement le pire de tous. Il commence à hurler à nouveau. Je plisse les yeux, retire ma robe et marche décisivement vers l'eau. C'est froid et désagréable, je m'en fiche, je fonce tête baissée. Une fois proche de lui, je lui balande de l'eau dans la tête. Je lui balande un coup de poing faiblard dans l'épaule mais l'eau ralentie mes mouvements. « Jamais, au grand jamais mon cher, je ne coucherais jamais avec toi, tu m'entends, JAMAIS ! » Je le regarde franchement.

« Et c'est pas parce que je me balade avec trois malheureux préservatifs que je souhaite absolument couché avec toi. » Je jète un regard au dessus de mon épaule pour voir la plage. Je meurs d'envie de partir, de le laisser là. Au lieu de ça, je me rapproche de lui, très très proche. Si proche que je sens son souffle sur mon visage. Son souffle chaud sent le joint. Ses pupilles s'arrêtent sur les miennes. Je pose un doigt sur ses lèvres. « Comme mec y a pas pire que toi. Et je te jure que je ne coucherais pas avec toi compris, même si j'y ai pensé, même si je l'ai voulu. Pour le manque de respect dont tu viens de faire preuve, je ne coucherais pas avec toi. Pf. Idiot. » Je laisse tomber ma main dans l'eau, et je me retourne, prête à me retirer. Mais je m'arrête, tourne la tête de profil pour le regarder du coin de l'oeil. « Mais enfait, Kingston, c'est toi qui meurt d'envie de baiser avec moi. »
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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptySam 4 Juin - 23:11

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Je m’élance dans une course folle en direction de la mer. Je sens le vent fouetter mon ventre nu et en passant, j’attrape du sable dans les yeux ; pour l’effet scène de série B on y repassera. Je plonge dans l’eau. Putain ce qu’elle est froide. On est à Cancun, merde, elle devrait faire genre 30 degrés. Je sais pas moi, elle a eu le temps de chauffer toute la journée sous le cagnard non ? Je nage sous l’eau le temps de quelques brasses et remonte finalement à la surface parce que je manque d’air. Je me retourne en direction de la plage, Constance est toujours là, plantée comme je l’avais quitté, elle semble désemparé de ma connerie. Je le regarde, bien décidé à ce qu’elle entre dans l’eau. Si j’y suis allé, c’est pas pour jouer à Flipper le dauphin tout seul. « Allez, y parait que de le faire dans l’eau c’est posé ! En plus, je sais que tu as envie de ce corps qui te fait bouillonner ! » Tout en disant la dernière phrase, je passe une main sur mon torse d’une main sensuelle. Je suis maigre, je suis pâle comme la neige mais tant pis, elle doit bien y trouver son compte, comme toute les autres. J’attends, comme à mon habitude depuis ce début de soirée mais mes attentes sont vites comblées. Elle commence à se désaper et se dirige vers moi à demi-vêtue. Elle prend pas la peine de plonger, non c’est une fille, elle doit préserve son « brushing » et c’est donc les mains en suspend au-dessus de l’eau et une grimace (trop choute soit-dit en passant) qu’elle s’avance vers moi. « Ha tu vois, tu ne résistes pas à l’appel de la raison ! » Elle est à présent à quelques mètres de moi mais continue sa marche pour venir se poster juste en face de moi. Elle me balance de l’eau dans le visage du revers de la main et s’approche de moi pour me foutre un coup de poing tout en faiblesse dans mon épaule. Je crie néanmoins, histoire de me la jouer comédien. « Aouch ! Pourquoi tu me frappes ? Je le mérite pas ! » Je fais mon show à l’italienne là. Elle se contente de me regarder fixement dans les yeux et de me dire du tac-o-tac. « Jamais, au grand jamais mon cher, je ne coucherais jamais avec toi, tu m'entends, JAMAIS ! Et c'est pas parce que je me balade avec trois malheureux préservatifs que je souhaite absolument coucher avec toi. » Paroles, Paroles, Paroles. J’entends Dalida chantonner à mon oreille. Mes fesses qu’elle ne veut pas passer une nuit avec moi. Je ne réponds pas et je l’observe intensément. Elle va craquer de toute façon, c’est sûr. Elle jette un œil à la plage derrière son épaule. Elle avance vers moi. Hé bien voilà qui devient plus intéressant. Une distance maintenant infime nous sépare. Faudrait savoir ce qu’elle veut cette dame. J’aime bien parce qu’elle fait genre elle veut partir et tout ça mais depuis tout à l’heure elle ne fait que me suivre. Elle aurait très bien pu se casser après avoir récupéré ses affaires mais non. Elle m’a suivi jusqu’ici, bravant eau glacée et sable dans les yeux. Je suis sûr, je lui fais de l’effet ; à moins qu’elle ne soit ce genre de fille schizophrènes qui ont deux personnalité, genre la chaudasse et la fille prude. Elle dépose son doigt sur mes lèvres. « Comme mec y a pas pire que toi. Et je te jure que je ne coucherais pas avec toi compris, même si j'y ai pensé, même si je l'ai voulu. Pour le manque de respect dont tu viens de faire preuve, je ne coucherais pas avec toi. Pf. Idiot. » Voilà, elle l’avoue, elle a déjà eu envie de coucher avec moi. Bon d’un côté, depuis le début, elle a réfuté toute mes avances mais quand même. Tout à l’heure, quand je lui ai demandé de venir dans la douche avec elle, je sais très bien qu’elle n’était pas contre, loin de là. Mais ce que je ne comprends toujours pas, c’est qu’elle vient, limite elle se frotte à moi et c’est pour me dire qu’elle ne veut pas coucher avec moi. Franchement, les filles c’est genre incompréhensible. Elle laisse tomber sa main dans l’eau et se retourne pour repartir en direction de la plage. Non, moi j’en ai marre, je lâche l’affaire. Je comprends plus rien, je suis fatigué, ce joint m’a tué finalement. Ouais c’est ça. Je vais rentrer à la chambre, je vais me mater un film et peut-être même penser à une fille en faisant des choses peu catholiques ; mais pas à elle, elle m’a trop pris la tête. Ouais c’est ça. Je la regarde s’éloigner mais contre toute attente elle s’arrête et tourne la tête. Qu’est-ce que je disais, incompréhensible. « Mais en fait, Kingston, c'est toi qui meurt d'envie de baiser avec moi. » Je meurs surtout d’envie de lui dire de se casser, elle a trop joué. Mais … Comme on dit, tant qu’il y a de la vie, y’a de l’espoir. Je fais quelques pas en sa direction et me colle à son dos. Vas-y au point où j’en suis, j’en ai plus rien à foutre. Si elle me repousse là, j’en conclurai que c’est vraiment mort. « C’est ce que je me tue à te répéter depuis tout à l’heure. » lui dis-je tout en dirigeant mes lèvres en direction de sa nuque. Là, je dépose un baiser tendre au creux de son coup. J’attends le moment fatidique avec impatience.
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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptySam 4 Juin - 23:46

Je commence à partir. Ce mec, je ne le comprends pas, il m'insupporte, mais me fait rire. Un coup il 'joue' -chose qu'il n'avouera pas-, un coup il se la joue gros chieur. Peut-être est-ce sa véritable personnalité, gros chieur. Je ferme les yeux tout en avançant, ce mec est beaucoup trop spécial. Je ne pourrais pas le supporter toute les vacances, mais j'en ai marre de penser que ça quoi. Jules était tellement plus posé, temment plus calme, joueur mais calme. Kingston me torture. Tout à l'heure, en arrivant dans les douches, je n'avais aucune envie de coucher. Mais je suis de ces filles, complètement indécises. Je sens des mouvements dans l'eau, lui contre mon dos, c'est frais et chaud à la fois. Je ne me retourne pas, de peur de gâcher les gestes qu'il compte faire. Je ferme les yeux, et soupire. J'aimerais le repousser mais mon corps ne m'obéit pas et ne semble pas décider à bouger. « C'est ce que je me tue à te répéter depuis tout à l'heure. » Son souffle se rapproche de ma nuque. Wah, point sensible. J'ai entendu dire que chacun avait son point vraiment sensible, le point où la moindre caresse secoue tout le corps. Mon point sensible, c'est ma nuque. Et ses lèvres dessus provoque un long frisson. Je souffle pour me calmer. Je ne suis pas du genre à rester énerver longtemps, je ne suis pas rancunière. Mes nerfs sont passés mais ce simple baiser sur ma nuque a provoqué en moi un besoin, un désir. Je m'écarte, me retourne, l'observe. « T'es trop con. » Mes paroles ne se coordinnent pas vraiment à mes gestes et je me colle à lui.

« T'as conscience de ne pas être le plus beau des hommes avec qui j'aurais couché, Single Ladies. » Je souris légèrement. Mes lèvres effleurent les siennes. Heureusement que très peu de gens connaissent mon point sensible, sinon, n'importe qui pourrait me faire cèder. Avec lui, je m'imagine le pire, peut-être compte-il me planter, ça ne m'étonnerait pas vu comment je me suis comportée. Mais je crois que j'ai comprit ce qu'il se passe dans sa tête, je pense qu'il est le salop habituel, arrigant et 'obsédé' mais qu'il est traversé par des élans de connerie, comme piquer mes fringues tout à l'heure. Il ne l'aurait pas fait, il serait sûrement dans ma douche à présent. « Savoure Kingston, si j'ai refusé jusqu'à maintenant, alors la suite ne sera que plus onctueuse. » On dirait que je parle d'un yaourt, genre les pubs de yaourt ' waaah mon yaourt est trop onctueux, il a changé ma vie. ' Ces pubs là m'insupportent, elles gâchent ma soirée. Je me plonge dans ses yeux, porte un doigt à son sourcil. « Ils sont genre vraiment énormes tes sourcils ! » Je dépose un baiser des plus simples au coin de ses lèvres, toute souriante.
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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyDim 5 Juin - 0:33

On dirait que j’ai gagné. Au lieu de me repousser comme je pensais qu’elle le ferait, elle se contente de frissonner. Aurais-je touché le point sensible de madame ? Franchement, je pensais pas que ce serait aussi simple encore une fois. C’est fou ce qu’elle est imprévisible cette fille. Vraiment, je la connais depuis trois semaines à peu près et j’ai toujours pas trouvé le moyen de bien la cerner. C’est le genre de meuf qui cache bien son petit jeu, celle aussi qui font genre que tout va bien alors qu’au contraire leur vie se casse la gueule ; bref, c’est quand même le genre de fille qui me plait. Elle se bouge en avant, ce qui fait que j’embrasse à présent le vide, mais elle se retourne vers moi et s’approche une nouvelle fois de moi. « T’es trop con. » me dit-elle me dévorant des yeux. Enfin, elle me dévore pas, elle me regarde, mais c’est la même. Si vous jouez sur les mots aussi. Je hausse les épaules. « Je sais. » Non mais c’est vrai, avec le temps, ça m’ait rentré, je suis pas si stupide que j’en ai l’air, je retiens ce qu’on me dit. « T'as conscience de ne pas être le plus beau des hommes avec qui j'aurais couché,Single Ladies. » J’ai tout d’un coup envie de l’insulter. Non mais l’autre hé. Mais le truc, c’est qu’elle colle ses lèvres au miennes dans un baiser furtif. Ca a le don de me faire fermer ma gueule. « Savoure Kingston, si j'ai refusé jusqu'à maintenant, alors la suite ne sera que plus onctueuse. » Qu’est-ce qu’elle parle d’onctuosité, elle m’impressionne cette fille. Elle passe alors son doigt sur un de mes sourcils et le regarde avec attention. Qu’est-ce qu’il lui prend là ? « Ils sont genre vraiment énormes tes sourcils ! » Elle dépose un nouveau baiser, mais cette fois –ci, il me fera pas la fermer. Vraiment énorme ? Saloperie. Qu’elle aille se faire un sac. Je m’écarte d’elle et touche l’objet de sa critique. « Non mais ho. Ça va, c’est cool ? La vie est belle. Premièrement, tu me fais te courir après toute la soirée. Secondement, tu me dis que je suis moche. Et troisièmement, tu te fous de la gueule de mes sourcils. Moi, c’est bon j’en ai fini. » Vexé jusqu’où vous pensez, je me retourne et fixe avec attention l'horizon et ses limites, tout en insultant tout et n’importe quoi, la plage, le temps, l’eau ; tout y passe. Je marmonne comme un vieux pochard, mais les raisons sont fondées. Elle ne me mérite pas finalement. Je ne sais pas, j'avais ma chance avec cette fille. On aurait pu faire tout et n'importe quoi. Mais je l'ai pas saisi. Peut-être que je suis gay finalement?
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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyDim 5 Juin - 17:14

Il s'écarte Enfin, il va comprendre, il va comprendre qu'il m'a énervée au plus au point auparavant. Il m'envoie des mots mis bout à bout. Il me tourne le dos, boudeur et marmonne des insultes dans sa barbe. Je l'observe un instant, hésitante. Je n'ai plus que deux cartes à jouer, celle où tout se finit bien, et celle où je me barre. Je fixe ses épaules, sous l'eau ma main tente de s'approcher de son dos mais j'hésite pour finalement faire demi-tour. Je ne sais plus quoi penser. En même temps, si je ne passais pas mon temps à dépendre de mes réactions, si j'étais moins émotive, peut-être arriverais-je à gérer tout ça. Je me mords la lèvre pour me faire violence. Si j'étais moins, si j'étais plus, si j'étais, ouais mais je suis ainsi. Je fixe toujours ses épaules légèrement en avant, signe qu'il est contrarié. Je cligne des yeux et me décide enfin à bouger. Je fais demi-tour et me dirige vers la plage. Je ne me retourne pas, je n'ai pas envie de voir s'il me fait toujours la gueule. Je n'ai pas envie de le voir. Il m'énervait, mais je l'ai vexé, ça ne me ressemble pas vraiment. Je marche dans l'eau, puis sur le sable, j'attrape mon sac et enroule de nouveau ma serviette autour de moi. Arrivée à ses affaires, je les regarde, me retourne, il n'a pas bougé. Peut-être n'a t-il même pas jeté un seul regard vers moi. Et puis, je m'en fiche, je ne suis pas une grande sentimentale. Je n'ai que faire de mon evie d'aller m'excuser, il le méritait. Ce n'est qu'un petit con.

J'avance, suis le chemin de l'allée, repasse devant le groupe d'adolescent. Ils sont moins, mais leur regard est toujours aussi pesant. Il se regarde entre eux. « Salut. » Je m'arrête, serre la serviette contre moi. J'ai pas peur d'eux mais c'est un réflexe de fille. « Vous dépucelez ? Non merci, ça ne m'intéresse pas. » Je leur sers un petit sourire plein d'arrogance avant de me remettre à marcher. Je n'ai pas envie de voir leurs tronches, même s'ils doivent en faire une sacré, du genre, dégoûtés. Ai-je l'air d'un pédophile ? Non mais. Soit ils m'ont prises pour une meuf qui aime les petits soit ils m'ont prises pour une meuf de leur âge. Ils se foutent grave de ma gueule ceux là. Ou alors, c'est moi. Je croise peu de gens sur le chemin, beaucoup dorment déjà ou sont de sortie. Je passe une main dans mes cheveux alors que j'arrive enfin à mon bungalow. Je pousse la porte avec un soupire, elle ne grince pas, pas comme la porte de la maison de ma mère. J'entre, elle n'est toujours pas rentrée, tant mieux. Je fouille dans mon sac. Putain, j'ai oublié ma robe sur la plage. Quelle conne je fais. Je laisse mon sac là, sur la table, je ressors. Direction, son bungalow. Passées quelques allées, je le trouve, m'installe sur une chaise de la terrasse, à priori, il n'y a personnes. Je m'accoude à la table et regarde le vide. Si je n'avais pas laissée mes nerfs prendrent le dessus, la soirée serait sûrement merveilleuse. Mes yeux se ferment. Et malgré moi, malgré ma lutte pour restée éveillée, je m'endors.
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Kingston-P. de Calthorpe

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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyDim 5 Juin - 19:02

Franchement. J’en ai marre, je crois que je vais faire une demande pour devenir curé où un truc dans le genre, il est toujours assez tôt pour revenir sur le droit chemin et qui sait, je deviendrais même pape. Ouais, pape avec une toc et tout le bordel, et j’imposerais plein de truc pour les pratiquants catholiques, et ils seront bien emmerdés… Moi je dis, heureusement que personne ne lit dans mes pensées, on serait pas sorti de la berge… Ou plutôt de l’auberge, enfin merde c’est la même chose. Maintenant qu’elle parte l’autre petite dame, je m’en fous, c’est plus mon problème. Ils ont quoi mes sourcils ? Je les caresse une nouvelle fois. Non, ils sont très bien, il n’y a pas de problème. Elle, elle a qu’à regarder ses cheveux gras. Ouais gras. Non mais. Puis je suis sûre qu’elle s’est barré, d’un côté ce serait pas étonnant, elle va pas passer la soirée à me regarder faire la gueule, ce serait con. Le truc c’est que je veux pas me retourner, sinon elle va penser que je m’intéresse à elle. Ce qui n’est ABSOLUMENT pas le cas, non monsieur. Je suis sûre qu’elle va regretter d’avoir été conne avec moi, elle sait pas ce qu’elle rate. J’aurais surement été son meilleur coup, ouais. Je suis ultra-performant, ces autres gars ne sont rien comparés à moi. Pff. Ingrate. Heureusement qu’il ne s’est rien passé.

J’en ai un peu marre de marmonner dans ma barbe, et puis je me commence à me les peler. Elle doit être loin maintenant, je peux arrêter mon cinéma. Enfin comme on dit couramment, the show must go on. Je crois que je vais aller en ville finalement. Ce serait posé, j’y retrouverai peut-être même Samuel ou une connerie dans le genre. Et je vais me trouver une fille aussi, plus belle et surtout plus GENTILLE que cette autre loutre. Je me retourne ; la plage est déserte, elle s’est bien barrée. Même si un petit bout de mon esprit espérait qu’elle soit restée à contempler mon magnifique dos. Bullshit. Je commence ma marche en direction de mes affaires. Je marche avec difficulté, mes jambes fatiguent (oui je suis pas un cycliste et j’ai des petites jambes fragiles qui ne demandent qu’à être choyées… ma gueule.)

C’est étonnant, elle a pas pensé à foutre du sable sur mes fringues. A sa place, j’aurai pissé dessus et j’aurai recouvert le tout de sable, elle est peut-être pas si garce que ça… Ou elle a tout simplement pas l’esprit aussi mal placé que moi, deux choses l’une. J’enfile mes fringues, prends mon sac mais au moment où je compte partir, je vois qu’il y a un autre tas d’habits posé sur le sable. C’est pas vrai, j’ai fermé mon sac, et je trouve le moyen d’oublier quelque chose. Quel con. Je ramasse le bout de tissus, mais au lieu de trouver ce que je croyais être, il se trouve que c’est la robe de la miss. Je réfléchis un instant … Soit, je la laisse ici et elle risque de se la faire biter, soit je la prends et je lui rends pas, soit je la prends et je vais lui rendre. La dernière option semble la plus approprié, je suis pas si batard que ça. Je quitte la plage, sa robe sous le bras, prenant la direction du bungalow de l’autre emmerdeuse.

TOC TOC ! J’attends quelques instants mais rien, la porte reste close. C'est pas un manoir son bungalow, pourquoi elle prend autant de temps. Putain, elle est chiante elle aussi. Je suis pris d’un élan de générosité et elle est même pas là pour le voir. Je m’apprête à partir quand j’entends la porte s’ouvrir derrière moi. Je me retourne. Ce n’est pas Constance mais sa sœur, ou sa petite amie, ou un truc dans le genre. « Tu désires ? » me lance-t-elle d’une voix aguicheuse. Elle est pas claire cette nana, ça m’étonne que l’autre chieuse la côtoie. Elle a les yeux rouges et semble pas avoir bu que de l’eau. « Elle est pas là Constance ? » En temps normal, je serais rentré dans la chambre et aurais sûrement fait des trucs pas catholique avec cette parfaite inconnue, profitant de son état d'ébrieté. Mais là, on n’est pas en temps normal et je suis crever. « Non… » dit-elle en un soupire déçu. « Tiens tu pourras lui rendre ça ? » dis-je tout en lui tendant la robe. « Ouais. » dit-elle avec froideur tout en me l’arrachant des mains. Elle est vraiment pas commode cette petite dame. Je fais volte-face et entame une marche en direction de mon bungalow.

C’est pas vrai, qu’est-ce qu’elle fout là. C’est pas possible, elle me cherche. Elle veut du pain je crois. Je m’approche de la terrasse de mon bungalow, Constance est assise sur une chaise, la tête posée sur la table entrain de pioncer. Elle se fout de moi là ? Je m’avance jusqu’à elle et dit d’une voix forte tout en lui tapant sur l’épaule. « Oh ! Tu baves sur ma table là. » Con jusqu’au bout vous me direz.
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Constance-Opale V. Jawles

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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyDim 5 Juin - 20:28

Je sursaute, une main sur mon épaule. « Oh ! Tu baves sur ma table là. » Faux, je ne baves pas. Je râle, relève les yeux vers Kingston. Ma serviette a glissé sur mes hanches, je la remonte jusqu'à ma poitrine parce que mine de rien, fais frais pour se balader en sous-vet'. « Va t'faire mettre de Calthorpe. » Mais merde quoi, son réveil aurait pas pu être un peu plus délicat. Je me redresse et me remets à serrer ma serviette. J'ai un blanc. Je ne suis pourtant pas amnésique. Pourquoi étais-je venue ici ? Pourquoi étais-je venue me poster devant 'chez lui'. « Au fait, j'suis désolée. Tes défauts font ton charme, y compris tes sourcils. » Je cligne des yeux. Re-merde, j'étais pas venue pour m'excuser. Ma robe. Ouais, c'est ça, j'étais venue pour récupérer ma robe que j'avais oublié sur la plage alors que monsieur s'était vexé pour une réflexion sur ses sourilcs bien garnis. Je m'imagine ce que ça aurait été s'il ne s'était pas vexé ou si je m'étais abstenu de lui faire cette remarque. Oh et puis, il n'a pas à être aussi susceptible. Finalement, bien heureusement qu'il ne se soit rien passé entre nous. Je l'aurais regretté, tout comme lui doit actuellement regretter de ne pas avoir couché avec moi. Et oui, très cher, ça fait une conquète en moins. De toute manière, une de plus, une de moins, qu'est-ce que ça change ? Ils s'en fichent lui, il n'a pas besoin de moi pour être heureux. En plus, je vais devoir être avec lui pour les élections miss et mister camping, et ce parce qu'il m'y a presque forcé. Etant quand même un peu compétitrice, je ne foirais jamais la compétition pour une histoire à la con. M'enfin. « Ouais, 'fin. Voilà quoi. T'as compris, tes sourcils, je les aime bien. » Putain, j'ai pas finit avec ses sourcils ? Je passe une main dans mes cheveux. Et c'est dans ce genre de moment que tu te rends compte qu'un téléphone t'es d'une grande utilité. Au moins pour te distraire.

« Tu sais pourquoi je suis venue ? » Parce que ce n'était pas pour m'excuser, j'ai envie de dire. Mais je m'abstiens de peur de le blesser encore. Et affecter son égo surdimensionné n'est pas la bonne chose à faire si je veux récupérer ma robe et ça fait un moment que je l'attends. Même si en dorman le temps passe trois fois plus vite. Je serre à nouveau la serviette contre moi alors que je la sens glissée. « Oh, tu sais quoi, y avait encore la bande de puceau. Les gosses sont de pire en pire. » Je dis ça, mais nous ne sommes pas vraiment mieux. Nous, on couche tous les soirs, on se bourre pendant toutes les vacances, on fume, pas mal se droguent. Chaque soir, le risque de tombée enceinte ou d'attraper une maladie est présent, même si l'on sait se protéger. A quatorze ans, moi, je n'envisageait pas ma vie comme ça. Je ne l'envisageais pas comme ces gosses là l'envisagent maintenant. Je la voyais grandiose, du genre, j'allais devenir une grande auteur avec une renommée mondiale, j'écrirais des séries de romans tellement bons qu'ils seront tous adaptés au cinéma. Si bien, que je finirais même par devenir réalisatrice. A la place, je suis une de ces filles qui se sont fracassées la tête contre la réalité à la sortie d'un véritable rêve -je parle, bien évidemment, de ma relation avec yann. Maintenant, je suis là, à étudier l'ingénierie, un secteur qui ne m'interessera sans doute jamais mais dans lequel j'obtiens de bonnes notes. J'entends les élèves en littérature de l'université parler des romans d'une Opale. Des romans à succès, écris d'une belle plume mais que les professeurs ne trouvent pas très bons. Alors voilà, je vois ces gens parler de choses que j'ai écrite sans qu'ils sachent que je suis là et que j'entends leurs critiques -bonnes ou négatives, je m'en fiche, elles sont toutes dotées d'intérêt si elles sont fondées. Je regarde à nouveau Kingston. « Donc. Ma robe. »
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MessageSujet: Re: « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie »   « A viser la lune, tu peux te perdre dans la galaxie » EmptyDim 5 Juin - 21:48

Elle se redresse et me lance un regard mauvais. Je suis le prince qui vient reveiller la Belle au Bois Dormant, m’enfin, la princesse elle, elle aurait pas la tête dans le pâté comme Constance l’a en ce moment avec ses yeux bridés et ses cheveux en bataille. Et puis je crois que le prince l’aurait plutôt réveillé avec un baiser et pas en lui disant qu’elle bave, soit. Elle remonte la serviette qui était sur ses hanches tout en proférant. « Va t'faire mettre de Calthorpe. » Me faire mettre ? Ça m’a jamais réellement tenté. Faudrait vraiment que plus aucune fille ne veuille de moi, et j’espère que ce sera pas demain la veille car me prendre vous savez quoi dans le derrière… ça doit faire mal. Je lui caresse les cheveux comme s’il c’était un enfant qu’on récompenserait tout en disant. « C’est pas grave si tu baves ma chérie. » Elle se lève tout en tenant sa serviette bien serrée contre elle. Han c’est bon, je vais pas lui arracher, en plus c’est pas comme si j’avais jamais vu ce qu’il y avait en dessous quoi. Ce qu’elle sait pas c’est que je l’ai déjà vu se changer… Intégralement, ouais ouais. La dernière fois, aux douches (encore une fois) mais je vais éviter de lui dire si je veux pas qu’elle me foute un pain. « Au fait, j'suis désolée. Tes défauts font ton charme, y compris tes sourcils. » Voilà, elle refout mes sourcils sur le tapis. C’est décidé, demain je vais chez l’esthéticienne du camping et elle va m’arranger tout ça, j’en ai marre. Bon je vais rien dire car elle s’est excusé et ce qu’elle vient de dire ressemble plus à un compliment qu’à autre chose. Je me contente de lui sourire. Je suis con, mais pas que. «Ouais, 'fin. Voilà quoi. T'as compris, tes sourcils, je les aime bien. » Peut-être que je vais pas aller chez l’esthéticienne, après tout, s’ils lui plaisent. Enfin… Elle sera bien emmerdée si je me les enlève. « Ouais bon, on va arrêter de parler deux. Ça va partir en cacahuète. » Elle me sourit et passe une main distraite dans ses cheveux.

« Tu sais pourquoi je suis venue ? » Si elle-même le sait pas, je vois pas pourquoi moi je le saurais, je suis pas le Dallai Lama, je suis pas devin. Quoique, elle est peut-être venu car le charme de mes sourcils avait fait son effet sur elle. C’est peut-être ça qui plait tant aux filles et que j’ai autant de succès nan ? « T’avais des remords de m’avoir laissé seul » Je lui fais un clin d’œil qu’elle semble éviter. Hoooooo. Elle resserre une nouvelle fois la serviette autour de sa poitrine. Bon c’est bon, c’est mort. Quelle petite prude cette fille. « Oh, tu sais quoi, y avait encore la bande de puceau. Les gosses sont de pire en pire. » De quelle bande de puceau elle parle ? Elle a dû m’en parler ou alors elle est vraiment idiote. Si elle m’en a parlé c’est moi le con. Enfin bref, je lui souris et hausse les sourcils (no comment) « T’aurais dû les dépuceler. Ça aurait pu être marrant nan ? C’est comme si tu couchais avec Justin Bieber ! » Elle lève les yeux au ciel. Elle en a pas marre non ? Enfin bref. « Donc. Ma robe. » « Je l’ai déjà donné à ta pote là, la bizarre. Elle m’a d’ailleurs chauffé. » Comme j’exagère, toujours et encore. Enfin, peut-être qu’elle sera verte de jalousie et qu’elle voudra se venger de son aguicheuse de copine en couchant avec moi. Non ? Non. Je fouille dans la poche de mon jean et en extirpe un paquet de cigarette que je tends à Constance, elle en prend une, je fais de même. Je sors mon zippo et allume la sienne qu’elle a entre les lèvres puis mon tour. Je tire une bouffée et m’assois sur une chaise autour de la table, vite suivi par Constance. Je la regarde quelques instants dans les yeux avant de lui demander d’une voix de pauvre enfant. « C’est vrai donc ? Tu voudrais vraiment pas coucher avec moi ? Même juste une fois ? »
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